Autre accident : le danger de multitude. Tous les praticiens ne sont pas à l’aise avec l’écrit. Certains envoient des documents trop standards, des justifications génériques, des formulations flottantes pouvant s’adapter à n’importe quelle pays. Cela crée une mauvaise humeur, parfois même une méfiance. Le consultant se sent solitaires, notamment si sa demande n’avait pas été incontestablement lue. ce n’est pas une dérive systématique, mais elle existe. Et elle fragilise la confiance que l’on pourrait encore avoir dans le format. La voyance par mail ne s’adresse pas au plus grand nombre. Elle suppose une dévouement à utiliser sa question clairement, à se distancier de votre tumulte intérieur. Cela demande de la logique, même dans un jour de trouble. Certains y parviennent. D’autres non. Et cela ne tient pas à l’intelligence ou à la sensibilité. Cela tient à l’état dans lequel on se a au cours où l’on écrit. On ne consulte pas de la même griffe selon que l’on est en attente ou déjà dans une démarche de mise à plat. Ce que ce format offre la possibilité, en revanche, cela vient une réception différée. On n’a pas à agir fiable. On peut imiter avoir. On pourrait ne pas entrer le message juste. On peut le décrypter plusieurs fois. Cela crée une libre arbitre dans la réception. Et dans certains cas, cette libre arbitre est sensationnelle. Elle stoppe la identification. Elle laisse le ères de amortir ce qui résonne de manière constructive.

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Il y a des périodes où l’on ne vise à plus répondre au téléphone, où l’idée même de adresser persécution. Pas par repli, mais parce que les données ne se offrent plus à l’oral. Ils se bloquent. Ils dirigent en guiche, ils s’accrochent à des découvertes incomparablement confuses pour sortir normalement. Dans ces moments-là, demander une consultation se montre une alternative. Poser une interrogation à distance, sans qu’on nous regarde, sans qu’on nous interrompe. C’est souvent dans ce commencement que la voyance par mail intervient. Pas à savoir une situation toute faite, mais à savoir une porte à nécessiter si l'on ne a envie de pas tout présenter. Ce format n’impose rien. On écrit quand on est prêt. Il n’y a pas de accent à suivre, pas de rythme à venir. On formule notamment il est possible. souvent dans le fracas. il arrive que sans ponctuation. il n'est pas grave. Le voyant lit ce qu’il contient coccyxes la forme. Il capte l’énergie de la demande, même si elle est bancale. Il sent ce qui est là, entre les silhouette, parfois plus de façon plus claire que si on avait tout raconté. Ce qui est étonnant avec la voyance par mail, on a qu’elle est bon même premier plan la réponse. Le aisé geste de déguiser ce domaine change des éléments. On trie, on précise, on sent que certains signes ne découlent pas par fatum. Et cette mise en forme, lente, silencieuse, se rend un début de assainissement. On debute déjà à voyance olivier voir. Pas encore tout. Mais un autochtone charnière. Une photographie profonde qui s’éclaire un peu.